L’usine Toyota d’Onnaing se prépare à la fabrication de la première Yaris 4 ce lundi - La Voix du Nord

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Sur cette ligne de la carrosserie, une Yaris 4 attend d’être prise en main par les robots. La voiture d’essai est là pour tester les nouveaux robots qui vont permettre de travailler « un acier plus épais que celui de la Yaris 3 ».

Sur cette ligne de nouveaux robots avaient déjà été installés l’été dernier. D’autres les ont rejoints cette semaine. Ils vont pouvoir souder un acier plus épais. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

« En carrosserie, c’est là où il y a le plus de travail de déplacement des équipements », atteste David Pruvost. Le responsable ingénierie désigne un plan de ce secteur et ce qui est réalisé depuis jeudi et la fermeture.

Le plus impressionnant a été le déplacement d’une zone équipée de seize robots de 200 m2 à quarante mètres de là où elle avait été installée provisoirement l’été dernier. L’espace libéré va permettre de stocker les pièces d’emboutissage, « au plus près de la ligne », précise Éric Meunier, chef de projet nouveau véhicule.

En carosserie, une espace de 200 m2 libéré de ses robots va permettre de stocker des pièces d’emboutissage. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Une boucle de véhicules à guidage automatique a aussi été implantée pour permettre le transport de pièces. De nouveaux préhenseurs qui faciliteront le port des portes des Yaris étaient ce mardi en phase de tests.

Avant la Yaris 4, lundi, le site Toyota Onnaing en chantier

Éric Meunier est le directeur de projet de la nouvelle voiture chez Toyota. Depuis 2017, il prépare, avec ses équipes, l’arrivée de la Yaris 4. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Éric Meunier est le directeur de projet de la nouvelle voiture chez Toyota. Depuis 2017, il prépare, avec ses équipes, l’arrivée de la Yaris 4. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Une centaine de nouveaux robots ont été installés en carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Après avoir installé les nouveaux robots ou déplacé les anciens, il faut les régler pour arriver au niveau de qualité et de fiabilité attendu. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Après avoir installé les nouveaux robots ou déplacé les anciens, il faut les régler pour arriver au niveau de qualité et de fiabilité attendu. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des nouveaux robots, permettant de souder un acier plus épais, ont rejoint les anciens sur les lignes de la carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Mardi 30 juin, en carrosserie, des lignes étaient encore en cours d’installation. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

David Pruvost est le responsable de l’ingénierie dans le secteur carrosserie. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Après avoir installé les nouveaux robots ou déplacé les anciens, il faut les régler pour arriver au niveau de qualité et de fiabilité attendu. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Cet ouvrier de Toyota prépare le transport d’une pièce par un transbordeur. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

À l’assemblage, les caisses de logistique sont vides. Elles ont été vidées le jeudi 25 juin. Elles seront à nouveau remplies ce jeudi 2 juillet. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

À l’assemblage, la ligne qui permet de monter les disques, les étriers et les amortisseurs a été déplacée de quelques mètres. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Durant cette semaine de fermeture, les salariés de Toyota participent au déménagement, emménagement et aux réglages. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Durant cette semaine de fermeture, les salariés de Toyota participent au déménagement, emménagement et aux réglages. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Un convoyeur pour les pare-chocs (les bumpers en langage Toyota) vient d’être installé pour les envoyer sur ligne par la voie des airs. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Un convoyeur pour les pare-chocs (les bumpers en langage Toyota) vient d’être installé pour les envoyer sur ligne par la voie des airs. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Un convoyeur pour les pare-chocs (les bumpers en langage Toyota) vient d’être installé pour les envoyer sur ligne par la voie des airs. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

En bout de ligne, à l’assemblage, un banc pour vérifier les caméras de recul est en cours d’installation. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

En carrosserie, une centaine de nouveaux robots ont été implantés « pour améliorer la productivité. La ligne est automatisée à 99,99 %. Il reste quelques points de soudure manuels », note David Pruvost.

La carrosserie, c’est 350 robots dont une centaine de nouveaux. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Des équipements plus ergonomiques

À l’assemblage, c’est un peu comme en carrosserie, la ligne de montage des disques, des étriers et des amortisseurs avait été agencée provisoirement (pour produire quelques véhicules d’essais). Elle a été bougée d’une dizaine de mètres.

Mardi, la nouvelle ligne d’assemblage des disques, étriers et amortisseurs étaient en cours d’installation. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Sur les huit process, « on a pas mal gagné en ergonomie », se félicite Grégory Diesnis, responsable ingénierie assemblage. L’autre gros investissement a été l’installation d’un convoyeur pour les pare-chocs. Avant, ils étaient acheminés par l’allée de logistique, au sol. Demain, ils prendront la voie des airs.

Le nouveau convoyeur de pare-chocs était mardi, en cours d’installation. PHOTO SAMI BELLOUMI - VDNPQR

Ces travaux de déménagement ou d’implantation nouvelle terminés, dès jeudi, les nouvelles pièces de la Yaris 4 réalisées en interne ou par des fournisseurs vont rejoindre les bords de ligne.

Vendredi, la carrosserie va commencer à produire les premières caisses qui iront en peinture l’après-midi après un audit qualité.

Lundi, ça sera au tour de l’assemblage de redémarrer. La première Yaris 4 est attendue en début d’après-midi. Trente voitures seront fabriquées lundi pour arriver à 300 vendredi 10 juillet et 800 avant les congés d’été. À pleine cadence, dès octobre, l’objectif sera de 1 254 véhicules par jour en trois équipes (contre 1 100 pour la Yaris 3).

July 02, 2020 at 07:31PM
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